Quel sera notre futur environnement de travail ?
18 octobre 2012 |Citrix, spécialiste des solutions de Cloud compunting et mobiles, a lancé deux études parallèles pour comprendre les aspirations des entreprises et des salariés en matière d’environnement de travail. Si la tendance est à la mobilité, entreprises et salariés n’ont pas les mêmes attentes.
Un travail plus mobile
D’après l’étude menée auprès des entreprises, 82 % d’entre elles prévoient d’adopter une stratégie de travail nomade d’ici 2014. L’enquête révèle que 62 % des sociétés ont déjà succombé à des solutions mobiles permettant à leurs salariés de travailler partout, à tout moment et surtout depuis n’importe quel terminal.
Les attentes envers ce nouvel environnement de travail diffèrent. Pour les entreprises, c’est d’abord l’avantage financier qui les motivent suivi d’une meilleure réactivité de leurs collaborateurs.
Côté salariés, les principaux atouts de la mobilité sont la flexibilité et la productivité accrue, notamment grâce à la diminution des déplacements. 55 % d’entre eux pensent également que la mobilité leur permettra d’instaurer un meilleur équilibre entre vie de famille et vie professionnelle.
Des espaces de travail repensés
L’environnement de travail est aussi en mutation. Les entreprises veulent miser sur des espaces plus flexibles pour favoriser la créativité et développer la collaboration en interne. Si les salariés soulignent l’importance d’avoir des bureaux personnels pour travailler dans de bonnes conditions, tous s’entendent sur la nécessité de disposer de salles permettant de se réunir spontanément.
On assiste ici à une évolution des besoins et des usages en entreprise. D’autres pratiques comme le Bring Your Own Device (BYOD) commencent à se démocratiser : d’ici 2014, 71 % des sociétés encourageront leurs collaborateurs à apporter leurs terminaux personnels pour les utiliser dans le cadre professionnel. Ces nouvelles façons de travailler s’installent petit à petit et ce n’est pas pour déplaire à l’entreprise, qui réalise des économies, ni aux salariés qui y voient une manière de s’épanouir tant professionnellement que personnellement.